Deli Teli prêche, avec une subtile dose de mélodrame méditerranéen, un déhanchement collectif sensuel, solaire et insouciant, sur les pistes de danse du reste du monde. Bouzouki électrisé, sons d’orgue farfisa psychédéliques, duo basse/batterie hypnotique et chaloupé font revivre les chansons des années 60/70 grecques.
Tsifteteli !
“ Né au printemps 2020, en plein confinement sur une terrasse de Marseille, le jour s’est transformé en nuit blanche. Kitsch 60’s et déhanchements virevoltants.”
Dans leur premier clip, ils reprennent “Boumpam” une chanson du célèbre et sulfureux Aris San, composée à l’origine par Panos Gavalas.
« Déli Téli électrise le K’Fé Quoi en revisitant les classiques grecs ! La Provence »
Concert de sortie parisienne d’album
Avec :
Arthur Bacon : synthé/chant
Tassos Tsitsivakos : bouzouki elec./chant
Christos Karypidis : basse
François Rossi : batterie
En 2017 le titre « Nozi Nozi » – qui moque l’épouse parfaite – servait de bande de son à des vidéos de fêtes clandestines en Iran. Mais ce que crée Liraz, quadra solaire, dépasse le seul combat des femmes. Elle propose une expérience sonore de la liberté !
Très influencée par les années funk et psyché qui précèdent la révolution islamiste iranienne de 1979, Liraz a découvert son ADN musical dans un bac à disques. Née en Israël de parents qui ont fui la révolution iranienne, Liraz 43 ans, a commencé sa carrière en chantant en hébreu avant de changer de langue et de mêler psychédélisme pop et sonorités persanes.
La véritable dimension de Liraz est sa double culture, et le fait de les assumer toutes les deux et de construire des ponts entre ces deux pays que tout oppose, en prenant le risque de travailler avec des musiciens iraniens via Telegram Skype ou Instagram, « Parfois la connexion était mauvaise, d’autres fois les musiciens disparaissaient du projet parce qu’ils avaient peur, ils détruisaient leur profil ou le changeaient. J’espère seulement pouvoir rencontrer un jour les artistes avec lesquels j’ai travaillé sur ‘Zan’ ».
Dans son dernier album, ZAN « Femme », Liraz mélange cette pop iranienne vintage reçu via messagerie cryptée aux aux rythmes rap et électro des boîtes de Tel-Aviv,
Son premier concert Parisien a eu lieu au Festival JNK en 2019, et nous ne sommes pas peu fiers